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Critiques

György G. Ráth fait partie de ces rares chefs d'orchestre qui connaissent aussi bien le monde de l'opéra que celui de l'oratorium ou de la musique symphonique. Son répertoire très large couvre toute la musique classique, de Bach à Bartók, les opéras de Mozart en passant par les œuvres de Verdi et Puccini jusqu'à celles de Janaček.

operas

“C’est au Hongrois György Győriványi Ráth que Philippe Auguin a confié son Orchestre Philharmonique de Nice, pour ces quatre représentations de Madama Butterfly données à la Baie des anges dans une nouvelle production. Assurément, la formation se révèle tout à son aise dans la partition de Puccini qu’elle sert fort naturellement : on ne disconviendra pas qu’il s’agit d’un répertoire qu’elle fait admirablement sonner. Encore faut-il souligner le sain progrès constaté dans chacun de ses pupitres, offrant à la baguette du jour un matériau qu’elle façonne aux désirs de son oreille, tout dévoués à la dramaturgie. Belle vivacité, donc, dès les premières mesures de cette matinée, art du détail « contrôlé », pour ainsi dire (à savoir : sans profusion abusive), équilibre soigneusement construit, dans le respect scrupuleux mais jamais complaisant du phrasé des chanteurs. Bref : la fosse semble italienne, aujourd’hui, précise et suave tout à la fois, dense sur les moments clés (l’entrée des femmes à l’Acte I, par exemple), accusant en profondeur tous les dangers de l’intrigue, conditionnant comme il se doit le spectateur, qu’à elle seule elle met à fleur de peau, à « recevoir » la tragédie.”

(Puccini: Madama Butterfly, mars 2013, Anaclase)

“Car si ces Noces de Figaro ont été réussies, c’est d’abord grace au chef d’orchestre György G. Ráth qui,tout au long de la soirée a fait vibrer l’esprit de Mozart.”

Mozart: Le nozze di Figaro, février, 2018, Nice-Matin)

“Et puis il y a la musique de Mozart, cette inventivité mélodique qui reste, au-delà des siècles, un jaillissement si frais et si spontané, dont les couleurs ont été bien rendues par l’orchestre Philharmonique de Nice dirigé par son chef permanent Gyorgy Rath, attentif aux rapports entre la fosse et le plateau dont la dimension imposante n’écrase pourtant jamais l’action.”

(Mozart: Le nozze di Figaro, février 2018)

L’orchestre de premier ordre et sous la direction de György G. Ráth...Une avenue à succès. Lors de la représentation de son Nabucco, vendredi, la salle a explosé en bravos, les fleurs pleuvaient depuis les balcons.

(Verdi: Nabucco, mai 2018, Nice-Matin)

“Le chef d’orchestre György Ráth apparait comme le deus ex machina du spectacle. Il a bien les choses en mains. Il conduit avec fermeté la sublime musique de Mozart. Avec lui sur ou suos le lit, personne ne dort.”

(Mozart: Don Giovanni, Nice, janvier 2019, Nice-Matin)

“Aux commandes de l’Orchestre Philharmonique de Nice dont il est le directeur musical, György Győriványi Ráth maintient une belle qualité d’ensemble, équilibrée en volume avec le plateau, respectueuse de la partition. Une soirée mozartienne de belle tenue qui réjouit le public niçois.”

(Mozart: Don Giovanni, Nice, janvier 2019)

“Mais le grand triomphateur de la soirée est peut-être le chef György Győriványi Ráth, directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Nice depuis 2017 [lire nos chroniques de Madama Butterfly et de Don Giovanni], qui obtient une prestation absolument splendide de sa phalange. L’ampleur, le souffle des premières mesures donnent le ton, le chef détaillant les pupitres des bois quelques instants plus tard. Un beau relief dramatique est dessiné lors des moments paroxysmiques, comme le long duo Lisa-Hermann de l’Acte II ou les interventions d’Hermann au III, mais les musiciens peuvent tout aussi bien caractériser avec légèreté la pastorale La bergère sincère” (Tchaikovsky: Pique Dame, Nice, février 2020, anaclase.com)

“L’Orchestre Philharmonique de Nice est placé sous la direction de György G. Ráth. La gestique est ample, puissante, et contient, sans faiblir une seconde, le bouillonnement intérieur de la partition, scandée par l’enchaînement psychologique des situations. Elle embrase les vastes gerbes sonores de l’orchestration russe et pastiche la délicate rocaille classique de la Pastorale mozartienne. L’orchestre est le roi de pique de l’œuvre, arcane majeure d’une composition conçue comme un véritable opéra pour orchestre. Les interventions concertantes des bois, du piccolo à la clarinette basse, des cuivres, de la trompette au tuba, s’enlacent aux rubans chauds des violoncelles, largement sollicités.” (Tchaikovsky: Pique Dame, Nice, février 2020, Olyrix)

“La juste lecture du metteur en scène, la tension qui ne nous lâche pas, s’accompagnent d’une direction de la même eau. György G. Rath tire de l’excellent Orchestre Philharmonique de Nice des couleurs crépusculaires, des lenteurs inquiétantes bienvenues, d’âpres moments de tension.”

(Tchaikovsky: Pique Dame, Nice, février 2020, Toute la Culture)

“La partie orchestrale ressemble à une symphonie avec toute sa richesse sonore. György Rath directeur artistique de l'Orchestre de Nice, mène son orchestre avec maestria.” (Tchaikovsky: Pique Dame, Nice, février 2020, Crescendo-Magasine)

“György Győriványi Ráth, le directeur musical de l’Orchestre Philharmonique de Nice, est au pupitre et produit de très belles couleurs à partir de la fosse.”

(Giordano: Andrea Chenier, Nice, novembre 2020, Anaclase)

“Le chef György Ráth, d’une gestique imposante et rassembleuse, fait respirer ensemble les solistes sur scène.” (Giordano: Andrea Chenier, Nice, novembre 2020, Olyrix

“Á la baguette, un chef fait vivre tout cela et fait monter de la fosse des flots de lyrisme. György G.Ráth Si Chenier ha perdu la tete lui n’a pas perdu la main.”

(Giordano: Andrea Chenier, Nice, novembre 2020, Nice-Matin)

“Et puis il y a György Györiványi Ráth à la tête de la Filarmonica regionale (FORM), qui constitue l’atout maître de toute la production. Le chef d’orchestre hongrois impose une lecture claire et personnelle, imprégnée d’une sacralité solennelle, d’une magnificence qui ne devient jamais pesante ou rhétorique, et qui, surtout, ne cède pas à des choix de tempi peu communs dictés par des considérations purement extérieures. Il est vrai que la première exposition de Deh, perdona ad un padre che delira et le fameux Va’, pensiero sont exécutés légèrement plus rapidement que d’habitude, mais cette observation n’est en rien gênante ; au contraire, elle capte l’attention sur l’anxiété de Nabucco, qui, dans la reprise, s’élargit en un élan nostalgique, plus passionné que désolé.

En revanche, on ne trouvera jamais une agogique trop agitée, cette frénésie que l’on confond souvent, dans Verdi – et pas seulement –, avec l’énergie et le drame. Ráth, au contraire, mise sur la noblesse maîtrisée du phrasé, sur le soin apporté à un éclat orchestral toujours précis, tantôt doux et velouté, tantôt émaillé selon les besoins, confirmant l’harmonie déjà appréciée en janvier dernier. “

(Ape musicale, Roberta Pedrotti, 28 octobre 2024)

Nabucco a inauguré la saison lyrique d’Ancône avec une lecture surprenante de György Györiványi Ráth

“ Être l’un des opéras les plus populaires et aimés du public peut parfois conduire à s’appuyer sur des certitudes trop bien établies, tant le succès semble assuré d’avance. C’est un risque que de nombreux chefs d’orchestre courent avec Nabucco. Mais György Györiványi Ráth, invité au Teatro delle Muse d’Ancône pour diriger le titre inaugural de la saison lyrique, a su offrir une lecture approfondie et personnelle, qui s’est révélée être l’aspect le plus intéressant de tout le spectacle. Le chef d’orchestre hongrois (lauréat en 1986, à vingt-cinq ans, du Concours Toscanini) possède une forte personnalité musicale : il ne s’est donc pas contenté de suivre les sentiers battus de la pratique exécutive – toujours à la limite de sombrer dans la routine – pour obtenir facilement un succès trop évident. Il est allé au-delà, réussissant à extraire des sonorités douces et séduisantes de l’Orchestra Filarmonica Marchigiana – apparue ici plus souple qu’à l’accoutumée – et même des vents d’Ancône qui, comme cela arrive parfois dans les œuvres de Verdi, jouent hors scène. Il a misé sur un choix très personnel des tempi, parfois dilatés, parfois très rapides, par rapport à ceux de la tradition. Dès l’ouverture, des détails habituellement omis, comme certains staccatos, sont ressortis ; il a ensuite conféré au Va, pensiero instrumental – que Verdi anticipe ici – une dignité inédite, en le transformant en une véritable phrase symphonique, et non en une citation fugace de ce qui reviendra plus tard. Ráth est ainsi apparu totalement étranger à cette paresse habituelle de ceux qui présentent cet opéra de 1842 comme résolument risorgimentale, d’autant plus que Verdi – grâce également au livret fourni par Solera – semble plutôt se tourner vers le passé : davantage vers le Moïse de Rossini que vers des thématiques patriotiques triomphalistes. Paradoxalement, une telle lecture s’avère bien plus respectueuse des intentions verdiennes, offrant presque un exemple concret et vertueux de ce que peut être une interprétation philologique.

La gamme de possibilités musicales exprimée par Ráth aide également les interprètes, qui peuvent ainsi mieux identifier les points de contact adaptés à leurs caractéristiques. Un cadre scénique simple, réalisé avec des moyens limités, mais qui, pour une fois, ne pose aucun problème, car la véritable force du spectacle demeure la baguette de Ráth. Il serait souhaitable, en effet, d’avoir plus souvent l’occasion de l’écouter en Italie.”

(Il Ponte, Giulia Vannoni, 28 octobre 2024)

“Tout cela n’était qu’un prélude à l’incroyable tour de force orchestral de la suite Le Mandarin merveilleux de Bartók, un manifeste expressionniste anguleux, véhément, brut et provocateur…

Enfin, il faut dire que cette interprétation ne peut être comparée à aucun enregistrement. Certes, il peut exister des versions techniquement supérieures, mais rares sont celles qui parviennent à pénétrer aussi profondément, laissant la musique s’insinuer dans nos pores. À la fin de la soirée, le public a explosé dans une frénésie, tandis que les musiciens, au lieu d’applaudir avec leurs archets, frappaient dans leurs mains – une reconnaissance de l’immense effort, du travail et de la profondeur émotionnelle qui ont ému aussi bien les interprètes que les auditeurs.”

(ABC.es, Carlos Tarín, 17 janvier 2025)

“Avec le juvénile Concerto roumain de Ligeti, Ráth a commencé à dévoiler une troisième vertu, pleinement confirmée dans l’œuvre de Bartók : la capacité à obtenir une fascinante variété de couleurs tonales. Dans l’œuvre de Ligeti, nous avons assisté à une légèreté et à une parfaite compréhension de l’esprit folklorique de la pièce, tandis que dans Bartók, le maître hongrois a transformé le ROSS en un véritable kaléidoscope sonore. Il n’a pas été facile de décider ce qu’il fallait admirer le plus : le timbre brillant des sections, la cohésion de l’ensemble ou la direction énergique et infatigable.”

(Diario de Sevilla, Pablo J. Vayón, 16 janvier 2025)

 

Grande talento 

(Leonard Bernstein, Tanglewood)

Eccellenti qualità direttoriali, acuta sensibilità e serietà artistica. 

(Franco Ferrara, Siena)

Il mio migliore allievo, direttore d'orchestra di più grande talento in questi ultimi anni. 

(Ervin Lukács)

Un direttore d'orchestra molto valoroso, uno che stiamo aspettando da molti anni...

(Muzsika, Budapest, Concorso Internacionale per direttori d'orchestra della Televisione Ungherese)

La Sinfonia Faust di Liszt è stata incantata da una profonda bellezza tramite un'interpretazione risolutrice. Non ci sono dubbi riguardo il primo premio.

(Le Monde, Concorso Toscanini)

CONCERTI

"Un vero gigante della musica."

(Novosty, Beograd, Liszt: Faust Sinfonia)

"Gyõriványi fa splendere le musiche d'Ungheria" L'Orchestra RAI, con Gyõriványi, ha fornito una delle prove piu belle della stagione."

(Corriere della Sera, Milano, Kodály:: Il Pavona Volo, Brahms: 4. Sinfonia)

"Calda sensibilità di Ráth"
"Grande sensibilità musicale, tanto da sembrare più mediterranea che "slava", ne fanno un interprete in grado di far parlare di sé in futuro."

(La Nuova Venezia, Sostakovic: 9. Sinfonia)

"Grande direzione di Gyorgy Gyõriványi Ráth"
"György Gyõriványi Ráth che ha condotto l'orchestra e il coro della RAI ad un raro splendore di suono facevano certamente di questo programma uno dei piùinteressanti dell'intera stagione primaverile."

(La Stampa, Torino, Liszt: Dante-Sinfonia)

"György Gyoriványi Ráth è arrivato a casa con questo pezzo. Il suo Bartók era nero, feroce e ritmico. È stato ammirevole il cambiamento profondo dei musicisti della RTL nel modo di suonare per poter disegnare questo mondo bartokiano. Hanno seguito con attenzione e con grande concentrazione i gesti impetuosi del maestro e hanno creato un Bartók nervosissimo."

(Tagesblatt Luemburg, Bartók: Sonate per due pianoforte percussioni)

"Caldo successo alla Scala: sul podio Ráth"

(Corriera Della Sera, Milano)

"Maestro con i Maestri", professionalità perfetta, espressioni eleganti, ispirazione interna. Queste sono le carte vincenti di Ráth."

(Vecerni List, Zagreb, Mussorgsky: I quadri di un'esposizione)

Il giovane direttore ungherese si è trovato in un terreno congeniale, dando prova di prontezza tecnica, fantasia di concertazione e spiccata simpatia per le sonorita taglienti e "barbare".

(La Stampa, Torino, Stravinsky: La Sagra Della Pimavera)

"György Ráth, teniamo a mente questo nome, lo troveremo entro qualche anno tra i piu grande maestri della bacchetta."

(Diario, Sevilla, Gershwin: Un Americano A Parigi)

"Gyõriványi Ráth, che piacere. Strepitoso successo del direttore d'orchestra ungherese."

(La Nazione, Firenze, Bartók: Divertimento)

"Anche Ráth pone l'espressione al di sopra di tutto, e caverebbe musica financo dalle pietre: la sua direzione della Patetica di Ciaikovskij Io faceva intendere in ogni dove."

(La Sampa, Torino, Ciaikovskij: 6. Sinfonia)

"Gyõriványi con Bartók infiamma l'orchestra. E l'orchestra ha risposto magicamente alle sollecitazioni bartokiane e alle indicazioni del direttore ungherese, regalando un'esecuzione giustamente analitica ma al tempo stesso entusiasmante e coinvolgente.

( La Gazzetta, Genova, Bartók: Concerto)

"A completare il programma una festosa esecuzione delle Danze di Galánta di Kodály e una di quelle interpretazioni della Seconda Sinfonia op. 61 di Schumann che contribuiscono a dare luce ad un capolavoro ingiustamente tenuto in ombra."

(La Repubblica, Torino, Schumann: 2. Sinfonia)

"Conservatorio al completo per il ritorno sul podio di György Gyõiványi Ráth"

(La Stampa, Torino)

"Il direttore ha esaltato il suo caratteristico modo di dirigere, tutto teso ad un'intensa partecipazione al fatto musivale. Ció ha provocato l'entusiasmo del pubblico cui Ráth ha generosamente replicato concedendo un bis, che non poteva essere altro che una Danza ungherese di Brahms"

(Il Giornale, Firenze, Haydn: 101. Sinfonia)

"György Gyõriványi Ráth, che fa musica con gioia, esprime la sua vera natura, la trasmette senza mezzi termini, con garbo, intelligenza, musicalità."

(La Stampa, Torino, Valzer di J. Strauss)

"György Gyõriványi Ráth è salito sul podio della Sinfonica Rai come in decine di precedenti, si è fatto valere per la precisione del gesto, l'acutezza dell'interpretazione - espressiva senza retorica, asciutta senza secchezze - e la perfetta conoscenza dei diversi generi."

(La Stampa, Torino)

"Col tocco di Ráth tutto diventa oro"

(La Stampa, Torino)

"Gyõriványi si è dimostrato maestro prima di tutto dei passaggi e delle sfumature, badando al flusso della musica ed ai diversi caratteri, illustrandoci contemporaneamente  la capacità di ravvivare e trattenere implicitamente i tempi, di rendere espressivo un gesto con dinamica intenzionale e differenziata, di risolvere con economia l'intensificazione in una maggiore prospettiva , formando nell'udienza un'attesa incessante."

(Radio Ungherese, Budapest, Ciaikovskij: Sinfonia n.5)

"Già dalla prima battuta è stato chiaro che Gyõriványi legge lo spartito con competenza indubitabile. Gli ultimi quattro tempi erano il flusso della perfezione. I meriti di tale interpretazione hanno provocato una"standing ovation"...superbo direttore ospite!"

(Las ultimas notizias, Santiago de Chile, Berlioz: Sinfonia Fantastica)

"György Gyõriványi Ráth ha diretto assai bene l’Eroica di Beethoven.... Il direttore l’ha guidata con energia, tensione e un senso efficace dei contrasti."

( La Stampa, Beethoven: Sinfonia No 3“Eroica”)

"Probabilmente tutto ciò è anche nato dall’intesa con un gran talento della direzione d’orchestra qual’è Ráth, l’ungherese che ha il fuoco della musica nel sangue."
"Sheherazade di Rimskij Korsakov trascinato anche dal senso estetico di Ráth che è un magnifico fraseggiatore."
"Il successo è stato meritato: per il resto l’ungherese é anche un signor direttore d’opera, non sarebbe affatto male se al Regio lo si ascoltasse di piu, magari stabilmente."

(La Stampa, Rimskij Korsakov: Sheherazade)

"Da molti anni György Gyõriványi Ráth sale sul podio di orchestre torinesi e piemontesi; ed ogni volta che vi ritorna, il pubblico si augura di vederlo piu spesso. Comunque rieccolo, il direttore ungherese, che eccelle in un repertorio vasto ma naturalmente predilige quello del suo paese."

( La Stampa, 14. Aprile 2006. Bartók: Musica per strumenti a corda, percussioni e celesta, Ciaikovsij: Sinfonia N. 6. in si minore op. 74 Patetica)

"E ha messo in luce salde doti di concertatore nell’affrontare pagine sinfoniche di stile diverso ma comunque di straordinaria rilevanza orchestrale(fra suggestioni tardo-romantiche-Dohnányi, seduzioni folcloriche –Kodály, „cataclismi” espressionistici- Bartók).
Pagine che hanno visto l’orchestra areniana protagonista di una prova di grande smalto e di notevole precisione e che hanno permesso a Gyoriványi Ráth di sciorinare una vibrante tensione espressiva, con letture ricche di particolari, duttili nel fraseggio, ben elaborate nelle dinamiche.
E alla fine, gli applausi sono giunti copiosissimi."

(22 Maggio 2006, L’Arena, Cesare Galla, Dohnányi: Minuti Sinfonici, Bartok: Il Mandarino miracoloso-Suite, Kodály: Le danze di Galanta)

"Grande Successo dell’Orchestra Regionale nel concerto di Bolzano – Dirige il Maestro György Ráth."

(L’Adige, Bartók: Divertimento, Haydn: Sinfonia N. 70, Kodály: Danze di Galanta)

"Gyõriványi Ráth ha già diretto al Colón il Macbeth di Verdi, il Mefistofele di Boito e la Manon Lescaut di Puccini. In tutte le occasioni è riuscito a creare il mondo estetico proprio a codeste opere. In questo senso anche questa volta si è dedicato con non minore sfida ad eseguire uno dei pezzi più difficili del repertorio, raggiungendo lo sviluppo della grandissima tensione del contenuto. Il premio del pubblico, ma anche del direttore assieme all’orchestra è stato l’esplosione del bis, una delle danze ungheresi di Brahms."

(Buenos Aires, Pagina12,11 maggio 2007 Bartók: Musica per archi, percussioni e celesta)

"L’Orchestra della Societá Filarmonica di Budapest, capace di fini sfumature e adatta contemporaneamente a precisione è slancio é stato guidata da Gyõriványi Ráth con mano sicura. Lo stile di Gyõriványi è caratterizzato da tempi agili ma nello stesso tempo osservanti delle tradizioni."

(Magyar Hírlap, Budapest, 7 settembre 2007, Kodály: Suite Háry János, Le Danze di Galánta)

"Sotto la bacchetta di Gyõriványi la magnifica musica di Kodály ha risposto con eccezionale bellezza."

(Képmás, Budapest, 14 dicembre 2007 (Kodály CD))

"Chiarezza musicale e di sentimento. GyRGy ha guidato l’Orchestra Filarmonica Tedesca del Nord con scioltezza.
Qui tutto quadrava, l’interpretazione era trasparente, piena di slancio."

(Rostocker Neueste Nachrichten, 28 Gennaio 2008, Shostakovich: Sinfonia N. 9)

"Il cinquantenne direttore di Budapest possiede almeno due delle cararreristiche vincenti nel rapporto con l’orchestra: fermezza nelle intenzioni interpretative, che si traduce in una gestualitá sempre molto chiara e comunicativa, e il carisma che fa di un direttore non solo un concertatore-coordinatore, ma un vero e proprio leader al momento dell’esecuzione. Quanto le due doti, ovvviamente coniugate alla padronanza assoluta della partitura eseguita e ad ogni altra componente necessaria, siano presenti nell’azione direttoriale di Ráth."

(Alto Adice 27.10. 2011. Sinfonia No. 67 di Haydn)

"Miglior bacchetta non si poteva trovare che quella dello stesso Rath, impegnato da anni nella „Dohnányi reneissance” per far conoscere anche al pubblico regionale tale capolavoro, facendo apprezzare le qualitá, della sapienza dell’orchestrazione alla fantasia melodica e ritmica."

(Alto Adice 11.05.2012. Sinfonia No. 1 di Dohnányi)

"Györiványi questa volta ha potuto approfondirsi nello studio dell’opera di Shostakovich, scoperendovi mille bellezze. Ha elaborato ammirevolmente i dettagli. Conosco parecchie registrazioni di quest’opera ma devo ammettere onestamente che l’interpretazone in vivo ha superato tutte in precisitá, elaborazione ed effetto. A questo fine non potevano mancare voga, dedizione e disciplina dell’orchestra. L’Orchestra della Societá Filarmonica ha dato una resa strabiliante. Praticamente tutto é riuscito, i dettagli solistici avevano un suono ispirato. La prossima volta chiederó biglietto d’onore non per Shostakovich o per un’opera per me interessante, ma per l’orchestra e specialmente per conoscere l’interpretazione di Gyoriványi."

(Új Zenei Újság, 27.04.2013 Shostakovich:Sinfonia Nr.5)

OPERE

"Sul podio, una rivelazione."

(Il Tempo, Roma, Verdi: Macbeth)

"Musicalmente, il direttore György Gyõriványi Ráth guida l'esecuzione con un senso dei tempi, della tensione, delle sfumature, del fraseggio che non conosce arresto."

(La Repubblica, Roma, Verdi: Macbeth)

"Il direttore d'orchestra ungherese Ráth, con la direzione leggiadra e con i tempi di sicurezza assoluta, si è meritato il festeggiamento."

(Tribune, Chicago, Boito: Mefistofele)

"L'eroe della serata era senza dubbio il direttore d'orchestra: Gyõriványi. Il suo debutto nel Flauto Magico era una rivelazione nell'ambito lirico!"

(Nuova Ungheria, Mozart:Flauto Magico)

"Sul podio, c'era György Gyõriványi Ráth, che ha offerto una lettura spigliata della partitura, cogliendone le ricchezze coloristiche, governando bene la concertazione, sciogliendo con apprezzabile morbidezza la sensualità del valzer."

(L'Arena, Verona, J. Strauss: Il Pipistrello)

"Dell'affermazione di questo allestimento i responsabili sono stati tutti gli interpreti, spiccatamente però il direttore d'orchestra György Gyõriványi Ráth ha destato ammirazione per l'intensità con cui ha fatto vibrare le emozioni nei momenti fondamentali dell'opera, quasi avesse avuto alle spalle un'esperienza di lungo corso."

(Corriere sella Sera, Roma, Giordano: Andrea Chénier)

"La tensione emotiva, dolente pure nell'ira, e il timbro musicale da perseguire e al riguardo György Gyõriványi Ráth ha dimostrato, come nel "Macbeth" di Roma, una notevole sensibilità verdiana, con accensioni ritmiche e momenti di ampio respiro, ma anche la necessità di affinare le scelte agogiche e l'equilibrio dei piani sonori."

(Messaggero, Venezia, Verdi: Rigoletto)

"La messa in scena, nonostante le notevoli qualità sceniche, avrebbe potuto crollare se non fosse stata  appoggiata dalla magnifica interpretazione musicale di Gyõriványi, caratterizzata dalla fine espressione piena di tensione, e dal suono dell'effetto di un affresco monumentale. L'orchestra ha suonato perfettamente."

(La Nacion, Buenos Aires, Boito:Mefistofele, Teatro Colón)

"...Da lungo tempo nel teatro, gli artisti e lo spettacolo non sono stati festeggiati con tale ovazione..."
"...Il successo dello spettacolo si deve in gran parte al Maestro Gyõriványi, che con il suo meraviglioso modo di dirigere, ha realizzato una perfetta fusione tra l'orchestra ed il coro, mentre ha tenuto un perfetto equilibrio tra la scena e la buca..."
"...Tutto sommato abbiamo assistito al miglior spettacolo della stagione del Colón"

(L'Opera Magazin, Buenos Aires, Teatro Colón)

"György Gyõriványi Ráth è capace di estrarre un suono omogeneo dall'orchestra e dal coro, sta attento a tutti i movimenti dei cantanti circondandoli di un ritmo fluttuante, non lascia mai languire l'attenzione dell'udienza."

(Caderno 2, Sao Paulo, Il Trovatore di Verdi)

"Tutto ciò si è rispecchiato magnificamente nella lettura puntuale ed ispirata di Gy.Gyõriványi Ráth, il quale ha potuto appoggiarsi sulla ben provata Orchestra e sul convincente Coro del Teatro Regio."

(Mundomusica, La Forza del destino di Verdi)

"È una linea esecutiva cara alla vecchia scuola, molto italiana ( anche se questo maestro è ungherese), molto ardente ed espressiva."

(Il Gazzettino, Venezia, Nabucco)

"Dal cast dello spettacolo emerge il Maestro direttore d'orchestra, György Gyõriványi Ráth. Sotto la sua direzione l'Orchesta Estable ha suonato con grande forza drammatica. La sua bacchetta ha guidato con considerevole flessibilità sia gli archi che i fiati dell'Orchestra."

( Clarin, Puccini: Manon Lescaut, Teatro Colón, Buenos Aires)

"Il pubblico del Festival Ebraico gode di un'interpretazione più che adeguata . Sotto la guida da "gran-signore" di Rath l’Orchestra MÁV ha suonato dando testimonianza di gran dimestichezza con lo stile lirico-drammatico. L’accompagnamento era pieno di colori."

(Muzsika, Saint-Saens: Samson e Dalila)

"La rappresentazione del Sansone è riuscita meglio di ogni aspettativa. Ció si deve ringraziare prima di tutto il Direttore György Gyõriványi Ráth. Ráth é un Direttore d’opera magnifico e affidabile, ha senso drammatico, conosce bene i meccanismi drammatici d’effetto, e non per ultimo sta attento ai cantanti."

(Új Ember, Saint-Saens: Samson e Dalila)

"György Rath come ospite sul podio dell’Orchestra del Teatro Nazionale, ha diretto un Verdi drammatico e pieno di tensione, che però non mancava di brio e lirismo ricco di colori. Successo amichevole e notevole."

(Rhein Neckar Zeitung, Verdi Rigoletto)

"La produzione è stata realizzata perfettamente, elaborata con magnifica puntualittà. Tutto funziona quasi a livello mondiale…Vediamo la parte musicale: Orchestra e Coro partendo con un deciso stile belliniano, nel corso della serata, arrivano ad un suono di massima cultura. Rath coordina, organizza bene."

(Mannheimer Morgen, Verdi: Rigoletto)

"Il direttore ungherese György Gyõriványi Ráth, artista di grande sensibilitá, molto amato in Italia."

(Operaviva, Mendelssohn: Edipo a Colono)

"Il suono dell’orchestra era già sorprendentemente ricco all’inizio dell’Ouverture, l’opera si è avviata con festiva e lussureggiante espansione…ed il livello è rimasto uguale fino alla fine. Qualche volta sembrava che Gyõriványi tirasse fuori le belle note dai violini con le proprie mani. L’importante è che ci è riuscito. Abbiamo ascoltato un suono orchestrale non solo disciplinato ma anche molto espressivo."

(Vita e letteratura, Budapest, 18 gennaio 2008, Wagner: Tannhauser )

"Il suono orchestrale è ottimo, il tempo giustamente teso, l'esecuzione compatta, il suono mozartiano autentico, merito di Gyõriványi Ráth, del Coro Femminile Angelica, del Coro Maschile Honvéd e dell’Orchestra dell’Opera di Budapest."

(Képmás, Budapest, 14 dicembre 2007 Mozart: Don Giovanni)

"Siccome durante i due ultimi atti non potevo trattenere le lacrime, devo confessare che la Manon Lescaut ha fatto grande effetto su di me. Ma se devo essere obiettivo, devo riconoscere che ció é merito esclusivamente di Eszter Sümegi, Attila Fekete e dell’ orchestra diretta dal Maestro György Gyoriványi Ráth."

(Café Momus, 1 Dicembre 2008, Puccini: Manon Lescaut)

"György Gyoriványi Ráth durante questa serata ci ha fatto conoscere l’alta scuola della direzione d’orchestra. Dobbiamo levare il capello, se no volerebbe via. Ritmica tesa, fini mosse agogiche, tensione e soluzione, risoluzione e legamento…
Ho avuto occasione di ascoltare Verdi „in vivo” da direttori (severamente in ordine alfabetico) come Abbado, Barenboim, Gardelli, Levine, Mehta, Muti, Ozawa, Pál, Pappano, Patané, Solti, Vaszi, ma da ora ritengo che Gyoriványi appartiene ai grandi direttori Verdiani."

(Momus. 21 giugno 2011, Verdi: Macbeth)

"Durante la rappresentazione, gli spettatori potevano veramente viaggiare al di qua ed al di lá della matrice di cui base é stata fornita dall’interpretazione intensa ed espressiva dell’orchestra diretta dal Maestro György Gyoriványi."

(Orientpress.hu, 8 settembre 2011, Bartók: Castello di Barbablú in 3D)

"Le prime note del Simon Boccanegra risuonano nell’orchestra con un tono bello e vellutato degli archi, con una dinamica sfumata. Dirige György Gyoriványi Rath. La qualitá questa volta rimane attendibile e sicura, i colori distinti dell’ingegnosa orchestrazione si fanno valere, il suono e gradevolmente uguagliato e non mancano neanche i momenti ispirati."

(ÉS, 7 ottobre 2011, Verdi:Simon Boccanegra)

"L’orchestra era tutt’altro che fiacca, non si poteva non ascoltarla con attenzione. Ció non vuol dire che avesse coperto i cantanti, anzi. Sotto la bacchetta di György Gyoriványi Ráth potevamo essere testimoni di un far la musica, piena di temperamento e di effetti, solo raramente teatrale. Questa serata mi ha chiaramente dimostrato che il vero territorio di Gyoriványi é la musica operistica di Verdi, sarebbe opportuno che ricevesse ancora compiti simili a Budapest."

(Momus, ottobre 2011, Simon Boccanegra)

"Sotto la direzione focosa di György G. Ráth, l’Orchestra Filarmonica di Nizza é in grande forma, ombreggiando eccellentemente l’ondeggiare del lirismo pucciniano, lasciando aleggiare i solisti."

(Operamagazine Nr.87 19.03.2013 Puccini:Madama Butterfly)

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